Avec l’aide et le soutien de gendarmes du Groupement de Gendarmerie du Puy-de-Dôme, plusieurs équipes d’élèves se sont déployées sur une scène de crime fictive pour authentifier les preuves, réaliser un inventaire, saisir les objets, établir un plan général de la scène de crime, relever les empreintes digitales, rechercher des traces de sang, prélever les substances, mettre sous scellés différents indices...
Ce projet a mobilisé l’ensemble de la communauté éducative du collège : les enseignants des différentes matières comme, par exemple, les professeures d’anglais et d’arts plastiques, pour la réalisation du portrait-robot du suspect, ou les professeurs de sciences qui analyseront les échantillons d’ADN prélevés et mis sous scellés, sans oublier les infirmières, les assistants d’éducation et le personnel du collège tout autant engagés afin de donner un maximum de réalisme à cette enquête scientifique dont la finalité est l’identification du coupable grâce à la mallette pédagogique mise à disposition par la gendarmerie.
Ce partenariat a été officialisé par la signature d’une convention entre le collège Mortaix, représenté le principal, Gilles Marion, et le Groupement de gendarmerie départementale du Puy-de-Dôme, représenté par le lieutenant-colonel Raphaël Force, en présence de Dominique Terrien, directeur académique des services départementaux du Puy-de-Dôme, du colonel Didier Ressayre du GGD63 ; du major Jean-Vincent Huleux, de la MPF63 ; de Stéphane Grevoul, inspecteur pédagogique régional de physique-Chimie ; d’Eddy Oziol, délégué académique à l’éducation à la défense ; du Lieutenant-colonel Christophe Loridon, délégué militaire départemental adjoint du Puy-de-Dôme ; du capitaine Stéphane Degoutte du CSNJ de Clermont-Ferrand ; de Valérie Passarieu, conseillère départementale ; de Patrick Perrin, maire de Pont-du-Château et d’Olivier Paradis de l’IHEDN.
Mise à jour : avril 2025